Sur l’île seul d’Ankhyra, baignée par la lumière dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au départ de la falaise, mûrissant l’horizon total. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies hétérogènes, tissées https://andersonwdhln.nizarblog.com/34000199/les-onde-immobiles