Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les meilleurs rayons du soleil, un homme du sobriquet d’Argyropoulos était devenu une énigme que nul ne pouvait ignorer. Il prétendait contenir le destin dans ses rêves et, bien qu’aucune mobile scientifique ne soit indice, ses prophéties https://elliotdviud.smblogsites.com/33866761/l-éclat-des-masques-dissimulés