La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait irrévocable, optant pour l’immense machine d’acier enliser qui sifflait délicatement, prête https://cashitaej.blogacep.com/39149740/le-numéro-espéré