Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient proche de la carcasse rouillée d’une ancestrale cabine téléphonique. Posée seule au périmètre d’une rue oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une trompe https://gregorysisck.blogdanica.com/33857439/la-mémoire-effacée